Un regard sur les métiers se rapportant à l’hôtellerie
Au 16e siècle, les auberges étaient généralement composées de chambres rustiques. La majorité du temps, le partage des lits était de mise, que ce soit à deux ou à trois, ce n’était rien de rare à cette époque. Tout les cabaretiers devaient être catholique romains. Les cabaretiers ne pouvaient recevoir personne chez eux les dimanches, et c’était la même procédure pour les trois derniers jours de la semaine sainte. Il y avait même des agents de police qui s’assuraient que les cabaretiers respectaient les règlements. Dans le cas ou les règles étaient non-respectées les cabaretiers pouvaient recevoir de grosses amendes, et s’ils persistaient les conséquences pouvaient se rendre à des peine corporelles.
La taverne :
La Taverne, au 16e siècle, est devenue un lieu de rencontre qui remplaçait l’église. Ce nouveau lieu entrainait des « guerres » entre les curés et taverniers. C’était surtout les femmes qui se retrouvaient à l'Église, et les hommes qui allaient à la Tavernes. La Taverne et l’Église étaient, la plupart du temps, situé face à face. L’accès à la taverne n’était pas interdit aux femmes. Ils célèbrent ensemble une multitude de cérémonies et de fêtes. On y organise même des mariages et des funérailles. Les tavernes ont rapidement eu la réputation de lieux pour activités criminelles et/ou illégales. « L’habitant du village d’à côté est considéré comme un étranger et ceux d’autre pays comme provenant d’une autre planète. »
Le lit :
À cette époque, le fait de partager le lit, était très commun et naturel. Il le partageait souvent avec les gens qui les visitaient. Pour être considéré comme un bourgeois, on devait posséder un lit à 4 places, et y dormir avec un ami.
Nourriture de campagne :
La nourriture est peu variée, à la campagne. La source première de leur alimentation est le pain, elle est également composée de bouillis. L’alimentation a été notamment améliorée grâce à l’apparition du sarrasin. Au 16e siècle, seuls les fèves et les pois portent le nom de légumes, ils sont d’ailleurs très appréciés. Pour s’hydrater, les paysans se contentaient d’eau ou de piquette.
Nourriture de ville :
Pour la bourgeoisie, l’alimentation était plus distinguée. On y retrouve charcuteries, poissons salés, soupes, potages, rôtis de viande, volaille, etc. Il se nourrissait également d’oiseaux, comme le paon, et même de pâtisserie.
Références :
http://www.renaissance-france.org/rabelais/pages/taverne1.html
http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article1282
http://www.renaissance-france.org/rabelais/pages/taverne.html
http://www.renaissance-france.org/rabelais/pages/taverne.html
http://www.renaissance-france.org/rabelais/pages/taverne1.html
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